La pratique régulière de musculation permet d’augmenter et de préserver la force et la masse musculaires. Mais a-t-elle un impact sur le risque de maladies non-transmissibles ? Quelle est la dose optimale de musculation pour obtenir des gains significatifs pour la santé ? Et peut-on attendre des bénéfices supplémentaires en combinant la musculation et une activité d’endurance cardiovasculaire ?

Même si les circuits HIIT combinent des demandes cardiovasculaires et neuromusculaires, il n’est pas encore clair quels sont les réels bénéfices que les pratiquants peuvent en retirer en termes de forme et de santé.

SIRT1 pourrait jouer un rôle crucial dans la protection des télomères. Certaines études ont montré que les athlètes Master possédaient des niveaux de SIRT1 plus élevés que leurs homologues sédentaires. Mais existe-t-il un lien entre les niveaux de SIRT1, la sécrétion d’insuline et la longueur des télomères ?

Outre les traitements pharmacologiques, l’activité physique (endurance ou renforcement musculaire) est souvent recommandée pour la prévention, le traitement et le contrôle de l’hypertension artérielle. Mais quel est l’efficacité de l’entraînement isométrique pour diminuer la pression artérielle ?

Parce qu’il permettrait de recruter un maximum d’unités motrices, l’entraînement à l’échec musculaire apparait souvent comme une solution idéale pour maximiser les gains. Toutefois, à volume d’entraînement égal, quels seront ses bénéfices avec des charges légères et lourdes ?

Le sommeil est primordial à notre bon fonctionnement, autant sur le plan physiologique que sur le plan psychologique. Pour un adulte, il est généralement conseillé de dormir entre 7 et 9 heures par nuit. Toutefois, ces indications sont très générales et ne tiennent pas compte des différences inter-individuelles dans les besoins en sommeil de chaque athlète.

La rigidité artérielle est un facteur de risque indépendant pour le développement des maladies cardiovasculaires, associée avec l’augmentation du risque de mortalité. Si l’activité physique générale semble la diminuer, qu’en est-il pour la musculation ?

La dépression touche environ 280 million de personnes dans le monde. L’activité physique est souvent prescrite chez les personnes dépressives avec des effets bénéfiques modérés à importants selon les études. Mais est-ce que l’activité physique pourrait agir en prévention et diminuer le risque d’apparition de la dépression ?