Aliments ultra-transformés et mortalité cardio-vasculaire
Les aliments ultra-transformés ont souvent été associés avec les maladies cardiovasculaires mais existe-t-il un lien préventif avec la mortalité due à ces maladies ?
Les aliments ultra-transformés ont souvent été associés avec les maladies cardiovasculaires mais existe-t-il un lien préventif avec la mortalité due à ces maladies ?
Une perte accélérée de masse musculaire est souvent observée chez les femmes ménopausées. Si la musculation est une solution idéale pour remédier à cela, des effets bénéfiques peuvent-ils être obtenus avec des charges légères? Et si oui, à quelle fréquence?
L’augmentation de la longévité a évolué de pair avec des changements radicaux dans nos modes de vie où la malnutrition, la sédentarisation et l’inactivité physique sont devenues une norme. Si bien que nous vivons plus longtemps mais avec potentiellement plus de problèmes de santé, limitant nos activités quotidiennes et diminuant notre qualité de vie.
En améliorant la perception de l’information somato-sensorielle, les vêtements de compression rendent le contrôle de l’équilibre plus optimal chez les personnes âgées, les personnes blessées et les sportifs de haut-niveau, mais qu’en est-il pour les personnes en bonne santé et actives ?
Les maladies cardiovasculaires représentent la première cause de mortalité dans le monde. Et malheureusement, leur incidence augmente avec l’âge. Et si l’activité physique reste un outil de prévention idéal, son volume et son intensité sont souvent très faibles chez les personnes âgées. Quel serait l’apport minimal pour observer des bienfaits sur la santé de cette population ?
La densité minérale osseuse est le facteur le plus important pour la prédiction des fractures. Avec l’âge, chez la femme, la diminution de l’activité physique et la baisse du niveau d’œstrogène en post-ménopause peuvent conduire à l’ostéoporose, et donc à l’augmentation du risque de fractures…
Le diabète de type 2 est une maladie métabolique qui touche plus de 285 millions de personnes dans le monde. Pour la combattre, des médicaments hypoglycémiants sont souvent prescrits mais ils sont associés à une baisse de la qualité de vie. Et si l’activité physique permettait de s’en passer ?
La démence est une épidémie globale qui compterait environ 50 millions de personnes dans le monde. Elle se caractérise généralement par une atrophie cérébrale, certaines zones étant plus affectées que d’autres. Certains suggèrent que l’activité physique pourrait ralentir cette atrophie. Mais existe-t-il un lien entre le niveau d’activité physique et le volume cérébral ?
L’activité physique permet de diminuer les risques de mortalité. Courir est l’une des activités les plus pratiquées dans le monde car elle est facilement adaptable au niveau de chacun et peut être pratiquée quasiment n’importe où. Mais quel est l’impact de la course à pied sur la mortalité et existe-t-il une relation de dose-réponse ?
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