La capacité à générer une grande force le plus rapidement possible est un facteur capital dans de nombreux sports. Pour travailler cette qualité physique, il existe différentes méthodologies dont la variation de la résistance avec bandes élastiques…
Le travail de l’endurance et de la force provoque des mécanismes d’adaptation distincts et souvent divergents. C’est pourquoi dans les sports où ces deux qualités sont nécessaires, il semble important d’optimiser la périodisation de l’entraînement.
Le tennis implique des efforts intermittents de haute intensité sur de longues périodes de jeu. Pour ces demandes particulières, le H.I.I.T. semble approprié. Mais quel est le protocole qui permet le mieux d’améliorer les performances ?
Les performances en sprint sur 40 yards et sur test navette de 20 yards sont des paramètres essentiels en Football américain. Il reste à déterminer quelles variables physiques et anthropométriques sont liées à ces performances de terrain.
En golf, il est nécessaire d’identifier les déterminants musculaires liés à la performance pour mieux adapter la préparation physique. Quelles sont les variables liées à la vitesse de frappe de la balle ?
Est-il possible d’améliorer le départ chez des nageurs de haut-niveau en effectuant une série de squat lourd en guise d’échauffement spécifique ?
En cyclisme sur piste, le “200 m” est une épreuve qualifiante pour l’épreuve de vitesse individuelle. Il est alors primordial de connaître les paramètres qui peuvent affecter la performance.
Lors d’un match de football, environ 96% des sprints effectués sont inférieurs à 30 m, et 50% d’entre eux sont inférieurs à 10 m. Existe-t-il un lien entre la force maximale des membres inférieurs et la performance en sprint ?
Sport de glisse, de glace et de vitesse, la luge implique une participation importante du haut du corps lors du départ. Mais quels sont les paramètres liés à la performance de départ ?
