La meilleure façon d’assister l’entraînement des sportifs de haut-niveau est de déterminer les critères liés à la performance. Pour cela, la mise en place de tests adaptés s’avère très utile.

La capacité à générer une grande force le plus rapidement possible est un facteur capital dans de nombreux sports. Pour travailler cette qualité physique, il existe différentes méthodologies dont la variation de la résistance avec bandes élastiques…

Le travail de l’endurance et de la force provoque des mécanismes d’adaptation distincts et souvent divergents. C’est pourquoi dans les sports où ces deux qualités sont nécessaires, il semble important d’optimiser la périodisation de l’entraînement.

Exercice commun, les pompes permettent un gain de force et d’endurance musculaire au niveau du tronc et des membres supérieurs. Il est possible de varier la difficulté en surélevant les appuis des mains ou des pieds…

Le tennis implique des efforts intermittents de haute intensité sur de longues périodes de jeu. Pour ces demandes particulières, le H.I.I.T. semble approprié. Mais quel est le protocole qui permet le mieux d’améliorer les performances ?

Pour mesurer l’aire de section musculaire, l’imagerie médicale est une solution coûteuse. Il existe des techniques de terrain fiables nécessitant peu de matériels pour évaluer les changements induits par un entraînement.

Les performances en sprint sur 40 yards et sur test navette de 20 yards sont des paramètres essentiels en Football américain. Il reste à déterminer quelles variables physiques et anthropométriques sont liées à ces performances de terrain.

L’exercice physique a un impact favorable sur le squelette humain. En effet, il peut maintenir, voire augmenter, sa densité minérale osseuse. Mais quelle est la méthode d’entraînement optimale ?